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| Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger | |
| Auteur | Message |
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Eh mais c'est Luka G. de Rendinger !
◊ citation : Comment dire adieu
a quelqu'un sans qui
on imagine pas vivre.
Je n'ai pas dit adieu..
Je n'ai rien dit du tout.
Je me suis juste éloignée.
My Blueberry Night ◊ messages : 51 ◊ avatar : francisco lachowski ◊ crédits : Lonely angel
| Sujet: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 21:16 | |
| Luka G. et de Rendinger Le temps file. Le temps n'attend personne. Le temps guéri toutes les blessures. Tout autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever. Du temps pour grandir... Du temps pour lâcher prise... Du temps ...
« Luka Gabriel de Rendinger» ♣ « 20 ans » ♣ « 8/08/90 et Alsace » ♣ « Français de pur sang » ♣ « étudiant en gestion et comptabilité » ♣ « Célibataire » ♣ « Wonderful World » ♣ « Francisco Lachowski »
Je me souviens pas du jour ou je suis né. Ni même de mon premier cri. C'est le genre de détail que notre cerveau n'assimile pas. Pourtant c'était censé être le jour le plus important de ma vie. Du genre de ceux qu'on doit absolument pas rater. Vous imaginez vous pointez en retard le jour de votre naissance, c'est pareille que pour le jour de votre mariage. Enfin, je me suis jamais marié j'en sais donc rien. Pour que vous compreniez mieux on va la refaire à l'endroit. Je m'appelle Luka Gabriel de Rendinger. Je suis le fils d'Antoine et Alisson de Rendinger. Mon porte est le descendant d'une longue ligné de Rendinger, le genre de connerie avec les sangs pur etc. Nous provenons de la noblesse française et je peux vous dire que ma maison de campagne me fait peur à cause de la quantité impressionnante de blason à nos effigie qui s'y trouvent. J'ai toujours trouvé ça cool, jusqu'à ce que ça devienne flippant avec l'âge. Vous savez, l'enfance, on s'imagine un tas de truc. Un de mes ancêtres à peut-être été un grand combattant, un guerrier redouté qui faisait régner sa loi. Je me souviens avoir longuement joué dans la pelouse avec mon épée en bois lorsque j'avais quelques minutes de liberté. Vous savez descendre d'une famille noble signifie avoir un nombre incalculable de chose à faire. Tout d'abord j'ai été éduqué avec un précepteur après mes heures de cours dans l'école primaire privée que je fréquentais. Je suis même certain que je devais fréquenté le même genre de crèche. Entouré d'un tas de gens qui se considèrent comme le nombril du monde et qui se fiche de ce que veulent réellement les enfants. J'ai toujours bien travaillé et fait de mon mieux, seulement en plus des heures de cours horrible passé dans cet horrible uniforme noir et blanc au effigies de l'école, je n'en pouvais plus. Seulement je me devais d'exceller dans un art. On m'apprit donc la musique. D'abord la guitare avant le piano. J'aimais sincèrement ça, mais un enfant de 5 ans n'a pas forcément envie de rester enfermer dans une grande pièce face à un piano à queue qui coûte plus chère que ce que l'ensemble des personnes qui s'occupent du manoir familial ne gagne en un mois. Moi tout ce que je voulais c'était pouvoir courir dehors, me rouler dans l'herbe crier après mon père que je courserais depuis une demi heure. Mais rien. Je vivais dans un monde aseptisé. Je ne connaissais le monde extérieure que par ce que mes précepteurs voulaient bien me montrer. Lorsque je ratais quelque chose, un cours, une audition, un récital, la personne qui avait prit soin de m'apprendre ce que je devais faire ce faisait viré à tout les coups. Ce n'était jamais ma faute, c'était toujours de la leur. J'ai très vite compris que !a ne tournait pas rond. Que ce n'était pas normal. Autorisé à voir mes parents environ une heure trente par jour je n'avais pas vraiment le temps d'appuyer mes arguments. J'avais dix ans la première fois que je me suis rebeller. Installé à l'énorme table de la salle à mangé je regardais mon père revenu d'un voyage d'affaire et ma mère se nourrir avec une décence horripilante alors qu'ils s'ignoraient mutuellement. Je me suis levé de table alors qu'un des majordomes me priait de me rasoir de peur que ça ne tombe sur lui. Je me souviens que ma mère m'a prêter attention et que mon père m'a sourit comme s'il était fière de moi alors que je me mettais à parler. C'est alors que sans crier gare mon horripilante grand mère arriva dans la salle à manger. Rien de mieux que pour réfréner mes ardeurs. Je dû encore grandir pour comprendre que les ficelles n'étaient tirées par personne d'autre que par elle.
Les années passèrent et j'étais de plus en plus exemplaire. Mes parents se firent plus présent dans ma vie. Je me souviens que mon père tentait d'accommoder son emploie du temps afin de me faire plaisir. Ce fut sans aucun doute les plus belles années de ma vie. J'avais douze an alors que le bonheur frappait à ma porte. Il s'installa de longue et belle année. Je fis le tour du monde accompagnant mon père à ses divers rendez vous. De New-York à Paris et de Londre à Varsovie, j'ai tout vu, tout entendu, tout su. J'aimais ça. C'était tellement bon de se sentir vivant. J'apprenais un tas de chose avec lui. Comment il gérait son entreprise, tout un tas de petit truc sur la vie d' "homme" comme il appelait ça. Seulement il arrive toujours un instant ou la vie vous rappelle à l'ordre. J'avais dix huit ans et des rêves plein la tête alors que j'obtenais mon bac. Je voulais étudier à Oxford une des université les plus réputé d'Angleterre avant de faire le tour du monde tout en travaillant pour l'entreprise de mon père. Seulement on me faucha l'herbe sous le pied. Ma grand mère fit un des plus somptueux banquet jamais organisé dans la noblesse pour annoncé à tous une très très grande nouvelle. Le matin même, confiant, souriant et épanoui depuis que j'avais rencontré ma petite amie de l'époque j'étais descendu dans la grande salle pour voir ce qui se passait. C'est alors que pour la première fois de ma vie je le rencontrais. Lui. C'est être qui par sa présence et son absence aura pourri ma vie jusqu'à la moelle. On m'apprit que ma vie était fondé sur un mensonge. Je n'étais pas fils unique. Non, ô dieu que non. J'avais un frère, et pour couronner le tout un jumeau. Ma copie conforme, ou j'étais sa copie conforme. Peu importait. Je l'ai de suite détesté, avant de l'apprécier. Seulement j'étais tombé sur une pente très dangereuse. Et je n'arrivais pas à me relever. C'est à partir de là que je me suis mis à boire, à fumer, à me droguer même des fois. Mes rêves étaient perdu, ma vie fichue. C'était ce dont j'avais l'impression. Rebelle, téméraire et vraiment idiot je faisais le plus d'erreur possible contrairement au passé. Je suis pas le genre de personne à être parfait sous tout les rapports. J'ai un caractère de cochon. Vous inquiétez pas je sais très bien aboyer. Ça m'arrive même souvent de m'énerver. Seulement je sais tout aussi bien me contrôler. En public je peut être le parfait gendre, le parfait meilleur ami. Celui qui saura mener tout le monde sur le bon sentier. Seulement les apparences sont trompeuse. Je suis juste un gars un peu perdu qui à prit l'habitude de paraître parfait. Ma vie avait changé à cause de ma grand mère qui, et j'en suis sur, avait prit un malin plaisir à détruire le bonheur familial dans lequel nous évoluions. J'ai quitté mon Alsace natal pour m'installer dans la capitale de Paris. J'ai alors emménagé dans un duplexe immense accompagné de mon frère, Damien. Ça semblait parfait, pourtant la vie ne m'attirait plus tant que ça. Mon frère ayant été éduqué par une famille de la classe moyenne avait toujours connu la vrai vie, seulement moi je n'y étais pas préparé. Plus personne pour ramassé derrière moi, plus personne pour m'aider quand j'avais un problème on était juste nous deux. Puis, Damien était un sacré fêtard. Il m'attira dans ses pas vers le monde de la nuit. L'alcool coula souvent à flot dans notre sublime appartement. C'était le pied. Seulement tout s'achève un jour. Tout le monde finit par s'en aller. On fini tous par crever.
J'ai changé, je suis un peu moins souriant, plus réservé. Une petite part de moi et morte un soir d'hiver. Je me demande parfois pourquoi je ne suis pas entièrement mort ce soir là. Et ma tête qui me joue des tours. Je me souviens juste avoir bu, beaucoup bu dans un bar avec mon frère et une amie à lui. Comme à son habitude ma meilleure amie à proposé de laissé notre voiture la et de marcher comme elle. Mais je voulais pas. Je l'aimais bien ma meilleure amie, même un peu trop. Elle c'était en tout point la femme de mes rêves. Malgré sont sacré caractère et notre habitude de se bouffer le bec, mais je l'aimais sincèrement. Certain de pouvoir géré le volant je lui ai promis de téléphoné une fois qu'on serait arrivé à notre appart". Bien sur, on y est jamais arrivé. Tout ce dont je me rappelle ce sont ces flash de lumière, un cri qui provenait de derrière, le crissement des pneus puis la vitre qui se brisait. J'entends encore le soir ce cri. Un hurlement au désespoir, un appel à la vie. La suite recommence une semaine plus tard dans une chambre d'hôpital. J'ai eu droit au son plus que gênant du monitoring qui surveillait mon coeur pendant de longue heures. Je me souviens du sourire éclatant teinté de tristesse que ma meilleure amie m'offrit. Elle semblait si heureuse et si désolé. Par la suite j'ai vu mon père et ma mère louer les dieux que je sois encore en vie. Ma grand mère est même venue, elle ne semblait pas si émue que ça. Ou alors comme à son habitude elle le cachait bien. Ce n'est que lorsque je leur ai demandé ce qu'il était arrivé de mon frère et son amie que tout devint noir. Froid, douloureux. Je ne sentais plus mes jambes, ma tête était douloureuse et je voyais bien les marques sur mes bras, mais je m'en fichais. Lorsqu'on me l'apprit je n'ai pas réagit. Rien, pas une larme. J'étais comme une cocotte minute sous pression. Et le jour ou j'explosais fut celui où j'appris que je ne pourrais plus remarché. J'explosais littéralement. J'ai tenté de descendre de mon lit d'hôpital, mais sans étonnement je m'effondrais sur le carrelage froid. J'avais mal, j'étais triste, j'étais terriblement seul, bien qu'entouré.
Voila, ça fait un mois que je fais de la rééducation. J'ai repris les cours et je me déplace la majorité du temps dans une chaise roulante. Cependant malgré les diagnostics des médecins j'ai retrouvé dans la sensibilité dans mes jambes. Je sais remarché aidé d'une canne et tout le monde autour de moi est certain que je peux faire mieux. Seulement je suis aigri. J'en veux à la vie. J'ai juste envie de mourir. Rejoindre mon frère que j'ai tant détesté. Que je déteste encore plus de m'avoir tout prit en venant et en repartant presque aussitôt. Je suis froid avec un grand nombre de personne et mes parents ne savent plus quoi faire. Parfois je me dis que j'aurais préféré mourir ce jour là. Seulement je n'ai pas eu cette chance. Alors je survis, je tente de reprendre pied dans un monde qui ne veut plus de moi. Ou alors c'est moi qui ne veut plus de monde. J'en sais rien, je sais plus... j'ai jamais rien su.
| Spaghetti mais Spagh ’suffit J'me présente, je m'appelle Henryyyy! ♪ J’ai 15 ans, je suis cinglé, complètement déjanté. J’ai un tas de passions, la musique, lecture, écriture, sport. J’adore le rugby ( regarder pas jouer xD) je vis sur la terre, enfin je pense. J’ai décidé de prendre Francisco Lachowski parce que ça faisait quelques temps que j’en avais envie. J’ai envie de me cacher sous une pierre et manger mes cacahuètes. Et je trouve que Paris-ci déchire un fond les cacahuètes asservie ! (compliment dans ma petite tête xD) |
Dernière édition par Luka G. de Rendinger le Mer 25 Aoû - 22:40, édité 6 fois |
| | | Eh mais c'est Cedric R. Dignam ! wanna do bad things with you The Orgasm's Donor
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 21:18 | |
| BIENVENUE PARMI NOUS :D. Merci de nous avoir rejoins, et bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 21:21 | |
| Merchiiii beaucouppp |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 21:24 | |
| De rieeeeeeen |
| | | Eh mais c'est S. Charlie Cohen !
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 21:53 | |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 22:41 | |
| Yep Thanks a lot.
J'ai fini ma présentation pour vous grand manitou ...*out* |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 22:51 | |
| Et bah écoute, petit artichaut, tout est bon alors je te valide! |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 22:53 | |
| Oh je suis un artichaut *danse la nouvelle danse des artichauts* Je suis même un artichaut lune cinglé Enfin merci de la validation je m'en vais de se pas affronté la dure vie parisienne |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 22:55 | |
| Haha ^^ J'aurais juste une petite question. Comment se prononce ton nom de famille? Genre Rend1gé ou autrement? |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 23:03 | |
| Comme tu viens de dire ^^ |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger Mer 25 Aoû - 23:05 | |
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| Sujet: Re: Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger | |
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| | | | Fucking promise, fucking lie. Life is a fight that I'm loosing|| Luka Grabriel de Rendinger | |
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