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Eh mais c'est S. Heartless Demarchelier !
◊ citation : Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu... ◊ messages : 38 ◊ avatar : Gemma Arterton ◊ crédits : avatar; Cristalline - citation; Jeux d'Enfants
| Sujet: (m) GRIMES • libre Mer 25 Aoû - 3:05 | |
| cornelius “pappercut” nom au choix
23 ans ♣ pappercut ♣ i shot the sheriff,bob marley ♣ The story of the impossible
Jusqu'à ses seize ans, l'histoire est libre. A seize ans il a déménagé dans un vieux patelin paumé en France (où vous voulez), en face de chez Heartless. Depuis, il vit avec à Paris, douzième arrondissement, dans un appartement pourri. Il a un job, mais pas un truc trop sérieux. Il gagne peu de fric, donc le faite pas médecin ou avocat, ni même étudiant. ♣ The seven things I hate about you SCYLEIA HEARTLESS DEMARCHELIER ▬ Pour faire court, Heartless et Pappercut se connaissent depuis qu'ils sont quinze ans pour elle et seize pour lui, ils étaient voisins. Ils ont une relation assez bizarre, genre amitié améliorée, ils s'aiment, ils le savent mais n'ont pas envie d'être en couple, mais ils leur arrivent -souvent- de coucher ensemble. Ils vivent ensemble à Paris, dans le douzième. Il y a de cela deux semaine, ils ont eu un accident causé par Papper', qui avait bu, si lui n'a rien eu elle a l'épaule brûlée. Depuis, elle lui en veut beaucoup. En plus détaillé ci-dessous.
- Spoiler:
De la fenêtre de ma chambre, je guette l’arrivée des nouveaux voisins telle une espionne j’attrape les jumelles et zoom au maximum sur le fils des voisins qui marche en direction de la maison, un carton dans les bras. Deux secondes me suffisent pour savoir que ce gars là, il est fait pour moi. Les jumelles volent sur le lit et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je me retrouve dehors, dans la rue, alors que mon père me hurle de « mettre des godasses bordel ! ». Mais je m’en fous en fait, il a autant d’autorité sur moi que j’en avais sur ma mouche soit disant apprivoisée, c'est-à-dire, aucune. Déjà que j’habite avec lui, faut pas non plus me demander d’être la fille modèle que je ne serais jamais. Sinon, salut Arthur, je retourne vivre à Londres avec la vieille… ma mère. Le nouveau voisin me regarde, je suis habillée à l’arrache, un vieux tee-shirt AC/DC et un micro-short déchiré, pourtant, il me déshabille du regard. Le carton lui glisse des mains et tombe sur le sol. Je m’approche, m’abaisse, ramasse le carton et lui fous dans les bras. Scyleia, ta voisine. Cornelius. Cornelius, c’est moche, maintenant tu t’appelles Pappercut. Je ne m’encombre pas avec la politesse, je suis cash. T’es sérieuse ? Pappercut ? J’aime bien. Pappercut ça veut pas dire grand chose en fait, c’est même un peu con. Mais j’aime bien. Pis bon, je m’en fous un peu, c’est pour lui. Si tu veux… Toi c’est Heartless. Heartless ?! Ouais. J’avais pensé à Nips, parce que t’as des seins mais en fait non… Enfin, je veux, je pense pas que t'ais pas de coeur hein juste... J'aime bien. Il est mignon quand même Papper’, à s’emmêler les pinceaux, à tenter de se rattraper. C’est vrai en plus… On me dit parfois que je n’ai pas de cœur. C’est pas le cas c’est juste que… Rien ne me semble vraiment important. Je déteste ma mère, c’est viscéral, mais je le vis bien. J’ai des notes minables, pas de talent particuliers, pas vraiment d’avenir… Mais pareil, je le vis bien. En même temps, t’as une bite, t’as une tête et c’est pas pour ça que je t’ai appelé Tête de Bite. J’ai quinze ans et j’adore ma vie. A la base, j’ai rien de plus qu’une autre, dix centimes dans ma poche arrière, neuf bracelets à mes poignets, huit paquets de clopes planqués dans ma chambre, sept capotes qui traînent par terre, six stylos BIC hors d’usage, cinq bleus sur les jambes, quatre piercings aux oreilles, trois placards remplis de mes peintures, deux parents moutons ; restons dans le moule. Mais moi, j’ai un truc qui change tout. Je l’ai lui. Pappercut. Pappercut, il est comme moi. Il fait comme chez lui. En même temps maintenant, chez lui c’est chez moi et inversement. Papper’ c’est le genre de mec qui gueule pas quand je le réveille à trois heures du mat’ parce que je me fais chier et que j’ai envie de faire du roller, c’est le genre de mec qui rigole quand je lui fais des dessins sur la tête au marqueur indélébile. Papper’ c’est moi, en mec. Je t’aime Papper’. C’est sorti un jour comme ça, alors qu’on s’était auto-invités lors d’une réception de mariage pour goûter le champagne et les petits fours. Il ne m’a pas répondu, mais je connaissais la réponse, pas besoin de mot. Alors je lui ai balancé le reste de mon champagne au visage et me mis à courir, slalomant entre les invités, les vieilles filles qui tueraient pour attraper le bouquet et les gros beaufs déjà bourrés, les joies du mariage. Puis il me rattrapa et m’enfourna cinq petits fours dans la bouche alors que, allongée sur le sol, je rigolais en tentant de ne pas m’étouffer. Papper’, il gère. On était rentrés tard ce soir là… Ou plutôt tôt ce matin là, cinq heures… et on était mardi, jours de cours. En même temps, quelle idée de se marier un lundi franchement ?! On était rentrés par la fenêtre et, même s’il ne dit rien, j’étais persuadée que mon père savait que l’on était sorti. Il avait renoncé depuis longtemps à toute tentative d’autorité. J’avais bu, nan, j’étais bourrée serait plus juste. Allongée sur le lit, j’osai enfin poser la question qui me brûlait les lèvres. Ca te dit qu’on couche ensemble, maintenant ? T’as bu Heart. Allez, fait pas ton gars Papper, je sais que t’en as envie, autant que moi. Il en a toujours envie, c’est une queue sur pattes ce gars. C’est pas la question. Tu vas le regretter demain matin. Dors. Tu fais chier Pappercut !. Je t’aime. Je t’aime aussi.. D’habitude, c’est pas ça qui l’arrête. Mais je sais qu’il n’est pas pareil avec moi qu’il l’est avec les autres filles. Il me protège comme un frère, m’aime comme un petit ami et me désire comme un amant. Notre première fois vint plus tard, aucune question ne fut posé cette fois, tout se fit dans le feu de l’action. Un petit bisou au coin des lèvres puis, une chose en entrainant une autre, on coucha ensemble. Suite à cela, on aborda le sujet épineux du couple… Que l’on ne formerait pas, pas tout de suite en tout cas. On s’aime certes, mais on est jeune, trop pour s’investir dans une relation sérieux et durable. Notre relation changea légèrement après cela. On partageait à présent, en plus de nos lits et de nos maisons, nos corps… nos conquêtes aussi parfois.
J’avançais doucement, les bras tendus devant moi pour éviter tout ce que pourrais me rentrer dedans… Ou l’inverse. Peine perdu l’abruti qui me cachait les yeux avec ses mains me fit rencontrer le mur d’une façon assez violente avant de rire comme un débile. Saloperie. Aoutch ! Imbécile ! Ca te fait rire en plus ?!. Il déposa un bisou sur ma joue gauche alors que nous avions arrêté de marcher. T’es prête ma belle ? Evidemment que je suis prête, grouille-toi ! Un, deux, trois. Il enleva ses mains de mes yeux et, après un léger temps d’arrêt, je me mis à hurler comme la fille hystérique qui sommeil très, très, très loin au fond de moi. C’est à nous ? Genre notre appartement ? Rien qu’à nous. Bon, c’est un peu petit mais… Tais-toi, c’est parfait. Je déposais un doigt sur sa bouche avant d’y déposer mes lèvres avant qu’il ne me fasse l’amour sur le seul meuble de l’appartement ; un lit. Enfin, un matelas posé sur le sol. J’avais dix-huit ans, lui dix-neuf et dès que j’avais pu, on s’était cassé de notre vieux patelins paumés aux portes de Paris pour le centre de Paris. On avait un appartement miteux, un boulot miteux, bibliothécaire pour moi, moi j’aurais plutôt dit range-bouquins mais bon, mais on trouvait ça trop classe. Rien avait changé depuis la fois où on avait couché ensemble. Nos sentiments demeurés les mêmes et en trois ans nous avions réussi à bannir toute jalousie au sein de notre couple sachant pertinemment que nous serions toujours la première personne dans le cœur de l’autre. Les moments que nous partagions en tant que couple se faisaient de plus en plus nombreux, ce qui ne nous empêchait pas de ne pas nous considérer comme un vrai couple. Je tentais tout de même de me rassurer. Tu te souviens de la promesse que tu m’avais faite Papper ? Laquelle ? Parce que je t’en ai promis des conneries quand même ! Genre me faire tatouer ton prénom sur les fesses. Tu l’as fait pourtant. Ouais, mais c’était une connerie… J’ai dérouillé et en plus, je peux même pas le voir. Je te parle pas de ça… Qu’on finirait notre vie ensemble, comme un couple. Ouais, je m’en souviens. Et c’est toujours d’actualité, on aura des enfants ensemble, on se mariera aussi…. Je dirais non. Pour moi, le mariage c’est la fin de l’amour, de la passion et le début de la routine. Je sais, mais ça change rien… Tu seras ma femme quand même. C’est psychologique ça. C’était certes d’actualité, mais pas pour maintenant. Nous étions trop jeune et immature pour nous poser. Et j’avais envie que cette histoire marche et pas qu’on finisse chez un conseillé au bout de trois ans parce que finalement c’était trop tôt pour toutes ces conneries.
La tête posée contre la vitre froide, je regardais le paysage défiler devant mes yeux alors que le pilote de la voiture semblait avoir bu plus que de raison. Tu fais chier Pappercut, j’avais pas envie de sortir ce soir, je voulais passé une soirée tranquille avec toi… pour une fois. C’est bon Heartless, on aura le temps de faire ça quand on sera vieux, pour l’instant on est jeune, on profite. Si tu le dis. Fais pas la tête ma belle. Ouais... J’ai pas vraiment compris ce qu’il s’est passé en fait. J’eus à peine le temps de reposer ma tête sur la vitre que la voiture commençait sa longue descente dans le vite… Tomber, c’est long. Et ce ne fut pas fini lorsqu’elle toucha le sol, elle enchaîna tonneau sur tonneau pendant plusieurs secondes qui me parurent des heures. Papper’ avait attraper ma main et je la serrais comme si ma vie en dépendait tout en fermant les yeux. J’avais toujours été le genre de fille qui ferme les yeux face au danger, reflexe idiot. La voiture finit enfin de tourner. C’est le moment où tu penses que ça va aller. Miraculeusement, t’es pas mort, elle non plus, il ne vous reste plus qu’à sortir de la voiture, à vous sauter dans les bras et à vous baver des tonnes de mièvreries amoureuses. Sauf qu’en fait, eh ben non. C’est plutôt le moment que choisi cette putain de bagnole pour commencer à cramer. Je hurle, panique, pleure, cette putain de fumée vient me brûler l’œsophage. J’ai mal. Ma dernière vision est mon bras en feu. Ensuite ?! Rien.
Deux heures qu’il me fixe comme un con, j’ai envie de le taper à coup de vinyle ce con. Il me stress à me regarder comme si il ne m’avait jamais vu. En plus je fais la gueule et ça m’énerve encore plus. Allez, fais pas la gueule Hearty, c’est marrant. Marrant ?! Tu rigoles j’espère ?! J’ai failli crever, par ta faute et tu trouves ça drôle. Connard ! C’est pas ma faute déjà, j’ai perdu le contrôle de la bagnole ! Et pourquoi t’as perdu le contrôle ? Parce que tu regardais pas la route, parce que t’avais bu et que tu voulais sortir pour aller sauter une pouffiasse plutôt que de passer la soirée avec moi. Alors si, c’est ta faute. J’aime assez le fait qu’il ne prenne rien au sérieux d’habitude, mais là c’est de moi dont il s’agit. C’est moi qu’il a failli tuer avec ses conneries. Et il est pas censé être comme ça avec moi. Pappercut m’a sauvé la vie… C’est son principal argument de défense. Donc, si je déclenche un incendie volontaire puis vient sauver le gars qui commence à cramer par ma faute, je suis un héro ?! On a rien en plus, c’est le plus important non ?! TU as rien, j’ai l’épaule cramée j’te signale. J’enlève mon gilet et lui montre l’état de mon épaule. C’est immonde putain. Rooh, tu feras de la chirurgie esthétique. Tu portes déjà les mêmes fringues que les stars, ça vous fera un point commun en plus. Ah ouais ?! Et l’argent tu le trouves où Papper ?! Parce qu’a moins que tu te mettes à chier des billets de cent, franchement, je vois pas bien. Je suis énervée très énervée, trop pour lui pardonner pour l’instant. Il s’est même pas excusé ce con.
Dernière édition par S. Heartless Demarchelier le Mer 25 Aoû - 3:18, édité 1 fois |
| | | Eh mais c'est S. Heartless Demarchelier !
◊ citation : Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu... ◊ messages : 38 ◊ avatar : Gemma Arterton ◊ crédits : avatar; Cristalline - citation; Jeux d'Enfants
| Sujet: Re: (m) GRIMES • libre Mer 25 Aoû - 3:16 | |
| Tout d'abord, merci de vous intéresser au scénario. Luke Grimes est très très peu négociable et je me donne évidemment le droit de refuser. Pour l'inscription, c'est C. Pappercut Nom. Le prénom, Cornelius, est négociable quant au surnom, il ne l'ait presque pas, encore une fois, il faudra me convaincre. Pappercut est amoureux, son coeur est pris, vous pouvez donc lui avoir une flopée de coups d'un soir, ou même de plusieurs soirs, mais pas de sentiments. Je demande un minimum d'activité, par non plus 24H/24H mais au moins deux RPs par semaine et, évidemment, ne pas lâcher le forum. Voilà, je pense que j'ai tout dit . |
| | | Eh mais c'est C. pappercut Blueberry !
◊ citation : Quand Dieu créa l'homme, il lui dit : " Désolé, fiston, j'ai tout donné à la femme : le charme, l'intelligence, la maturité, le corps, ... tout ! Elle est même capable de faire des enfants ! Balèze quoi ! Aussi, n'ai-je plus grand chose en magasin pour toi, fiston . C'est moche je sais . Pour me faire pardonner, je t'accorde le royal privilège de pisser debout ! ◊ messages : 5 ◊ avatar : Luke Grimes ◊ crédits : Woody Pepper ◊ pseudo : este
| | | | Eh mais c'est S. Heartless Demarchelier !
◊ citation : Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu... ◊ messages : 38 ◊ avatar : Gemma Arterton ◊ crédits : avatar; Cristalline - citation; Jeux d'Enfants
| Sujet: Re: (m) GRIMES • libre Ven 27 Aoû - 18:51 | |
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| | | Eh mais c'est C. pappercut Blueberry !
◊ citation : Quand Dieu créa l'homme, il lui dit : " Désolé, fiston, j'ai tout donné à la femme : le charme, l'intelligence, la maturité, le corps, ... tout ! Elle est même capable de faire des enfants ! Balèze quoi ! Aussi, n'ai-je plus grand chose en magasin pour toi, fiston . C'est moche je sais . Pour me faire pardonner, je t'accorde le royal privilège de pisser debout ! ◊ messages : 5 ◊ avatar : Luke Grimes ◊ crédits : Woody Pepper ◊ pseudo : este
| Sujet: Re: (m) GRIMES • libre Ven 27 Aoû - 19:14 | |
| C'est juste un personnage excellentissime à jouer, ça va être de la bombe |
| | | Eh mais c'est S. Heartless Demarchelier !
◊ citation : Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu... ◊ messages : 38 ◊ avatar : Gemma Arterton ◊ crédits : avatar; Cristalline - citation; Jeux d'Enfants
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| Sujet: Re: (m) GRIMES • libre | |
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