Elizabeth M. Simons ♣ Les apparences sont souvent trompeuse ♣ TERMINE

Invité

ELIZABETH MARIA SIMONS ”

jane
ÊTRE ELIZABETH C'EST
avoir 19 ans •• être né(e) à Londres le vingt-quatre Septembre •• être célibataire •• être du XVI arrondissement •• vivre à Paris depuis un an •• être têtu, grande gueule, ouverte d'esprit, rebelle, amicale, parfois solitaire, attentive, curieuse, maladroite, tête en l'air, hyperactive, aventurière, assez peureuse.

favorite book ; Les Hauts de Hurlevent favorite song ; Over the Rainbown de Judy Garland passe-temps ; écrire des chansons et jouer du piano ainsi que de la guitare. Aller à des concerts. métier ou étude ; étudiante en médecine favortie colour ; le noir favorite space in paris ; Bois de Boulogne & Le Parc de Bercy

regina

LONDRES : Vingt-Quatre Septembre mille neuf cents quatre vingt onze

▬ Je n'y arrive pas ! Merde tu vas sortir ! Sortez là de moi !
▬ Mademoiselle il faut pousser …
▬ Ça fait trop mal ! J'y arrive pas …
▬ Il faut mademoiselle … Allez on voit la tête ! Un petit effort …

Un cri de bébé retentit dans la pièce. Maria la jeune mère fondit en larme à ce moment là. Après cinq heures de travaille et de souffrance. Maria ne voulait pas d'un enfant, ce n'était pas prévue. Elle n'était âgée que de dix neuf ans. Elle était trop jeune. Maria avait décidée de faire « un tour du monde », elle avait quittée étude, famille, ami, pour faire sa virée du monde. Maria était une jeune fille pleine d'ambition, de rêve. Un soir alors qu'elle sortait du concert rock d'un groupe qui était passée là. Deux types vinrent lui parler. Il s'avéra que c'était le chanteur et le guitariste. Ils lui dirent qu'il l'avait vue dans le public et qu'ils l'a trouvaient belle. Maria tomba dans leur panneaux. Elle était jeune et inconsciente. Trois mois après elle appris qu'elle était enceinte. Cela l'acheva. Elle essaya de retrouver le groupe et quand cela fut fait , ils dirent qu'ils n'y étaient pour rien. Maria se retrouva donc toute seule sans savoir quoi faire. Elle se rendit à Londres et se fit suivre. Elle accepta sa grossesse malgré elle, mais entama une procédure d'adoption. Oh non hors de question de garder cet enfant. Six mois plus tard, ce bébé vit le jour dans cet hôpital Londonien. Les parents adoptifs étaient de l'autre côté. Attendant leur bébé. Maria avait deux choix : voir son enfant et ensuite le donner aux parents qu'elle avait choisis au risque de changer d'avis et de peut être le regretter, ou alors ne pas voir son enfant et le laissé partir. Elle choisit l'option un et ce qui devait arriver arriva, elle garda le bébé.

psychose

NOUVELLE CALEDONIE : Dix-Huit Août mille neuf cents quatre vingt seize

Depuis cinq ans, je vis une vie heureuse avec ma mère. Nous avons vécut cinq ans à Londres, mais j'avoue que je ne m'en rappel que très vaguement. Après tout je n'étais qu'une enfant. La Nouvelle Calédonie je l'a voyais avec mes yeux d'enfants et je trouvais ce pays si beau et paradisiaque. C'était un plaisir. C'est plage si belle. Cet chaleur étouffante presque. Je m'en rappel encore aujourd'hui. C'était vraiment les meilleures années de ma vie passée là-bas. Je me souviens encore parfaitement, de ces couchés de soleil, avec ma mère on s'installait sur la terrasse de notre maison au bord de la mer et là ma mère m'installer sur une chaise prévue pour moi tout près d'elle. Elle prenait sa guitare, et au soleil couchant sur la mer, elle me chantait :

Somewhere over the rainbow
Way up high
And the dreams that you dreamed of
Once in a lullaby ii ii iii
Somewhere over the rainbow
Blue birds fly
And the dreams that you dreamed of
Dreams really do come true ooh ooooh
Someday I'll wish upon a star
Wake up where the clouds are far behind me ee ee eeh […. ]

Ce temps-là était si beau. Et sur sa voix si belle et douce, je dansais et parfois même me joignais a elle. Elle me racontait que sa mère lui chantait ça pour qu'elle puisse passer des nuits douce et remplie de rêve. Après sa chanson j'allais me coucher et je dormais si bien. J'étais si bien ici. Et j'avais à peine cinq ans que j'étais déjà bilingue ; français et anglais. J'étais si fière de ma vie et de ma mère. Durant six années nous avons vécut ici. Un matin le jour de mes onze ans. Ma mère vint me réveiller en me souhaitant un bon anniversaire. Elle m'avait préparé un petit déjeuné super beau. Une fois que j'eus finis mon petit déjeuné. Ma mère me regarda et j'ai de suite sentie dans son regard que quelque chose n'allait pas. Je l'avais regardée inquiète. Elle m'avait pris la main et les larmes aux yeux et elle m'avait dit :

▬ Ma belle ! Je … Hum … Tu te rappels que je devais allée chez le médecin hier ….... Bon et bien il a découvert que j'ai un cancer …
▬ Un cancer ?
▬ Ces une maladie ma princesse … Une maladie grave.
▬ Mais tu vas allée mieux hein !
▬ Non trésor je n'irais pas mieux … Nous allons déménager à New-York, chez une de mes tantes … Pour qu'elle s'occupe de toi princesse.
▬ Non maman ! Tu vas rester avec moi, tu vas voir mon futur mari , mes enfants … tu vas grandir avec moi … Tu vas encore me chanter des chansons ….. Maman pourquoi tu pleures ?
▬ Eli' , tu es si belle chérie ! Je ne verrais jamais ces choses là ma belle ...

Je ne comprenais pas. Alors le reste de la journée je l'avais passée dans ma chambre, à jouer de la guitare et du piano. Instrument que ma mère m'avait appris à jouer. La soirée je l'a passée toute seule dans ma chambre, sur internet, j'entamais des recherches sur la maladie de ma mère. Et quand je compris enfin, j'allais la voir et je passais toute la nuit dans ses bras. J'avais lu qu'il y avait des chances de guérison mais elle me dit que pour elle non, que ce n'était pas possible. Trois jours après nous mettions les pieds à New-York. Maman était si fatiguée.

chamallow

NEW-YORK : Vingt-Cinq Décembre deux mille trois

Maman est décédée il y a un mois. Elle est partit en paix. J'étais dans ses bras quand elle a quittée ce monde. Et ensemble nous avons chantée, Somewhere over the rainbow .Way up high […] Someday I'll wish upon a star … Wake up where the clouds are far behind me […] … Ce fut les dernières chose que j'avais échangée avec ma mère. Ma tante me gardée donc. Elle était à présent ma responsable légale. Je ne l'aimais pas, elle m'horripilait. Elle refusait que je fasse de la musique. Enfin les années passèrent. Très vite je devins une adolescente. Les joies de l'adolescence. Au lycée j'étais une très bonne élève, mais j'ai commencé au lycée à traîner avec des gens dit comme « peu fréquentable ». J'étais une adolescente après tout. Je changeais de look, quand après une après-midi shopping avec mes meilleures amies, je revins vêtu de mes nouveaux habits, très rock et rebelle. La première phrase de ma tante en me voyant fut : « Mon dieu Elizabeth Maria Simons … Tu es … Tu ressemble tant à ta mère comme ça …». Nous passions le reste de la soirée toute les deux assissent par terre, avec des boîtes à photo. Et ma tante avait raison je ressemblais tellement à ma mère vêtu ainsi. Ce look je l'adoptais définitivement. Je montais un groupe de rock avec deux garçons. Mes meilleurs amis. Je jouais de la guitare électrique, chantait et composait les chansons. Eux s'occupaient de la batterie et de la basse. C'était un bon groupe vraiment. Nous allons très régulièrement à des fêtes. Je fessais très souvent le mur. Je crois que j'étais devenue une habituée du mur. Je finis par sombrer dans la drogue. Et s'en sortir ses très difficile. Un soir je rentrais complètement pas nette du tout. Et sur une chaise, il y avait un homme assis. Ma tante s'approcha de moi et me dit :

▬ Elizabeth , tu as encore pris de la drogue !
▬ Ça va tata ces rien … C'est qui lui ?
▬ Ton père !
▬ Mon … Mon … Père !!!!
▬ Oui je suis ton père ! La vache comme tu ressembles à ta mère quand elle était jeune !
▬ Je sais on me l'a déjà dit ! Et pourquoi tu reviens maintenant ? Ça fait dix-sept que je suis née … A ce que je sache tu n'as même pas avoué que j'étais de toi !
▬ J'ai appris le décès de Maria …. Et comme je passais par là et que j'ai sus que t'habitais là je suis venue te voir !

Finalement je passais le reste de la soirée avec lui. Je partageais avec lui ma passion de la musique. Lui fit écouter mes chansons. Et puis il partit. Et je n'entendis plus jamais parler de lui, à part à la radio ou à la télé. Mais plus jamais il ne vint me voir. Je devins une vraie rebelle de la société. La drogue, l'alcool, le vol. Ma tante elle en pouvait plus. Alors à mes dix-huit ans elle me vira de chez elle, mais elle eu quand même la décence de me fournir un billet de train pour Paris.

chamallow

PARIS : Deux Milles Dix

Voilà un an que j'habite ici. J'ai évolué. Je suis toujours une rockeuse, avec un look de rockeuse. Mais disons que j'ai pratiquement arrêtés les bêtises. La drogue j'ai arrête, disons que j'essaye, je résiste. L'alcool arrêt définitif et enfin tout ce qui a à voir avec la justice, vol etc.. finit aussi. Mais je suis toujours comme j'étais, rebelle, grande gueule. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds. La musique est devenue mon passe temps favoris et je fais des études de médecine. Pour ma mère, pour pouvoir soigner et être en contacte avec ceux qui souffre de ces maladies tueuse. Je rêve de trouver le garçon qui arriva à me sortir définitivement de ce traquenard qu'est la drogue. J'ai peut être plus ou moins arrêté, mais parfois la tentation est trop grande. J'ai revue mon père il y a quelque mois de ça, alors qu'il était en concert dans la capitale. Nous avons un peu parlé. Et il est repartit. Je chante souvent la chanson de ma mère, pour elle et surtout pour ne pas l'oublier. Je ne sais pas ce que l'avenir me réserve mais j'espère juste qu'il me réserve de bonne chose. On dit que l'amour fait changer, rend fou ... Mais est-ce vrai ? Est-ce que l'amour nous change ? Est-ce si beau que ça ? Je suis septique ! Mais qui sais ... L'avenir nous dira tout.

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