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 Hope is a fucking promise ; Charlie.

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S. Charlie Cohen
Eh mais c'est S. Charlie Cohen !

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MessageSujet: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMar 24 Aoû - 21:12

S. Charlie Cohen
Ne regardez pas en arrière et ne pleurez pas sur le passé
car il est passé et ne vous en faîtes pas pour le futur
car il n'est pas encore arrivé.


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© icon by candies world .
« Sunshine Charlie Cohen » « 20 ans » « 17 janvier 1990, Dallas » « Américaine et française par sa mère » « Vendeuse au Louvre » « En couple» « Comic strip, serge gainsbourg » « Kristen Stewart »
Quelqu'un a dit que la mort n'était pas la plus grosse perte dans la vie. La plus grosse perte, c'est ce qui meurt en nous quand on vit. Je pourrais vous dire qui a dit ça, mais on s'en fout, non ? One tree hill.


La vie est cruelle mais parfois il arrive que quelque chose, que quelqu’un entre dans notre vie pour que tout change.


« Sunshine Charlie Cohen ! » Ces mots, je les avais souvent entendus durant mon enfance. La plupart du temps, c’était quand je faisais une bêtise. Pour mes parents, le mot « bêtise » englobait de nombreuses choses. Cela allait de couper des poils du chat à parfumer toute la chambre des parents avec le parfum bon marché de maman. Je ne comprenais pas pourquoi on me punissait. Le parfum, c’était pour leur faire plaisir, pour que leur chambre sente bon et pour le chat, c’était pour qu’il ait moins chaud. Mais malheureusement pour moi, mes parents n’allaient pas dans le même sens que moi. Sunshine…Je ne savais même pas pourquoi ils avaient choisis cela comme prénom. Charlie ça pouvait encore aller, c’était un prénom mixte, simple à porter. Je pense que mes parents avaient du recevoir un coup de soleil sur la tête lorsqu’ils ont décidé de me nommé Sunshine. Je suis née à Dallas aux Etats-Unis et plus précisément dans l’état du Texas il y a 20 ans. Le Texas, c’est nul, il n’y a rien à faire. Vous connaissez sans doute la série « Dallas »…Oui ? Hé bien, la vie la bas, c’est pas du tout ça. Enfin, de mes yeux d’enfant je le voyais comme ça. Je ne suis pas une américaine pure souche. Ma mère est d’origine française, elle est née à Paris, la ville lumière. Comment a –t-elle atterrit ici ? Pour tout dire, à ses 18 ans, ma mère a eut envie de faire un voyage linguistique. Grâce à une association et étant déjà un très bon niveau en anglais, elle put, pendant un an, partir aux Etats-Unis. Son voyage la mena ici, à Dallas. En résumé, elle rencontra mon père et ce fut le coup de foudre. Cinq ans plus tard, j’étais là. Je naquis un 17 janvier 1990 dans un hôpital de banlieue. Mes parents ne roulaient pas sur l’or, ils n’avaient pas les moyens de se rendre au superbe hôpital du centre de Dallas. Oh, mes grands parents paternels auraient pu les aider financièrement mais, étrangement, ils ne voulurent jamais. Depuis le mariage de leur fils avec une française, ils avaient coupé les ponts avec leur progéniture. De ce fait, je ne les aie jamais rencontrés et c’est mieux ainsi. Mon enfance s’est passée dans une petite maison de banlieue. Malgré le faible revenu de mes parents, on pouvait quand même se permettre d’avoir la télévision et le téléphone alors que la plupart de nos voisins n’en possédaient pas. A l’école, ca pouvait aller. Je me débrouillais assez bien et me contentait de ramener des notes au dessus de la moyenne. L’idée d’être première de classe me rebutait assez. Surtout quand je voyais Andrew, le premier de classe justement, entourait d’une horde d’élève prêt à tout pour avoir les réponses du dernier devoir. Moi, je faisais partie de ceux qui restaient en retrait – nous n’étions que trois. Mes parents possédaient une vielle voiture achetée d’occasion. Ils l’avaient acheté dans l’un de ses garages où jamais un riche ne mettrait les pieds. Ce garage était réputé pour ventre des pièces détachées, des contrefaçons…tout des choses inégales. Mais encore une fois, mes parents n’avaient pas les moyens d’aller voir ailleurs. Ce jour là, au matin, je m’en souviens comme si c’était hier. Je n’avais pas école et mes parents devaient partir faire quelques courses au supermarché discount du coin. Quand ils m’ont embrassé et qu’ils ont passé la porte d’entrée, je ne savais pas que c’était la dernière fois que je les voyais vivant. Les heures passèrent, lentement et puis on frappa à la porte. Trois fois. Ces trois coups me hantent encore aujourd’hui. Les visiteurs étaient des policiers. Avec eux, il y avait une femme…D’une cinquantaine d’année je dirai. A 12 ans, lorsqu’on vous apprend que vos parents sont morts dans un accident de voiture, vous ne savez pas comment réagir. Au début, je n’ai rien dit, pendant plusieurs jours. J’attendais patiemment mes parents en pensant qu’ils allaient revenir. Je ne croyais pas en leur mort. La femme restait avec moi. Elle disait que « c’est en attendant de te trouver une famille ma chérie ». Chaque fois, je lui répondais que mes parents allaient revenir, que je n’avais pas besoin d’une autre famille. Pourtant il a vite fallu me rendre à l’évidence : ils ne reviendraient pas, jamais. Le jour où j’ai enfin accepté cette idée, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Rien ne pouvait me consoler. Pas même Nono, mon ours en peluche. Une semaine plus tard, j’avais une famille. Mes affaires furent placées dans une valise et je partis de chez moi pour l’inconnu. Je ne savais pas grand-chose de ma nouvelle famille si ce n’était qu’ils habitaient Arlington près de Dallas. La maison était immense, bien plus grande que celle que j’avais avant. Sur le palier se trouvaient trois personnes : mes nouveaux « parents » et sans doute leur fils. Il s’agissait de Monsieur et Madame Cohen. Leur fils se nommait Alex. Ils firent tout pour que je me sente comme chez moi. A force, cela a marché. Au début, je ne me montrais pas coopérative, je restais le plus souvent enfermée dans ma nouvelle chambre, à serrer Nono contre moi. Puis, petit à petit, je suis allée vers eux. Ils étaient super sympa. Alex me prêtait son vélo en attendant que j’en ai un et on faisait le tour du pâté de maison. Il avait deux ans en plus que moi. Trois après mon arrivée, les Cohen m’adoptèrent. Ils me demandèrent mon avis et je répondis oui. Ils m’aimaient, me considéraient comme leur propre fille. Je les appelais « Maman » et « Papa ». A mes 18 ans, j’eu envie de changement, de changer d’air. Alex était partit à l’université de Brown et moi, je voulais partir à Paris. Voir la ville où avait vécu ma vraie maman. Mes parents adoptifs eurent beaucoup de mal à me laisser partir malgré ma promesse de revenir un jour et de leur écrire par mail chaque semaine. Ils finirent par accepter. Le jour du départ, à l’aéroport, beaucoup de larmes furent versées. Alex était revenu de Brown pour me dire au revoir. Paris… La première chose que je fis à mon arrivée c’est de chercher un petit boulot et un appartement. L’appartement fut la première chose que je trouvais, dans le quartier de bel-air. Ce quartier était situé près du bois de Vincennes. Un bon bol d’air pur. Mes parents adoptifs m’avaient versé une somme d’argent considérable sur ma carte de banque et je pus donc m’acheter ce superbe appartement situé au troisième étage d’un immeuble à l’architecture ancienne. Un vrai petit bijou. Trouver un travail fut plus difficile. Je n’avais jamais eu de job étudiant ou autre dans le passé. La plupart des fois, on refusait de me prendre à cause de mon inexpérience. Pendant plusieurs jours, je partageai ma journée entre la recherche d’un emploi le matin et l’installation des meubles dans mon appartement l’après midi. Le plus dur quand on installa les meubles, c’est d’assembler tout ce qui est garde-robe, étagères, ect…Autant dire que mes mains ont souffert. Je ne comptais même plus le nombre de petites coupures que je m’étais faîtes. Je finis par décrocher un emploi au Louvre en tant que vendeuse dans la boutique de souvenir. On ne me payait pas une fortune mais c’était déjà ça. Le soir, je sortais souvent faire un tour dans le quartier. C’est lors d’une de ses chaudes soirées d’été que je rencontrai Enzo. J’avais mon portable en main, j’envoyais un sms à Alex pour lui donner de mes nouvelles lorsque je percutais quelqu’un. Je me retrouvais alors les fesses à terre, mon portable gisant à mes pieds. La personne que j’avais bousculée était un homme. Il s’excusa rapidement, ramassa mon portable et me tendit la main pour m’aider à me relever. Une aide que j’acceptais avec grand plaisir. Une fois remise sur mes pieds, le jeune homme m’invita à aller boire un verre dans l’un de ses cafés nocturnes. Je ne pouvais refuser et répondit par l’affirmative. Nous passions un agréable moment et au moment de se quitter, il me demanda mon numéro de portable. Je le lui donnais avec grand plaisir. Durant cette soirée, j’avais appris pas mal de choses sur lui. Il était riche, très riche mais ne s’en ventait pas. Je lui avais parlé de ma vie, de mon enfance sans aucune gène. Je lui avais parlé comme si c’était un ami de longue date alors que je ne le connaissais que depuis deux heures. On s’est revu de nombreuses fois, on s’entendait admirablement bien. On a vite fini par sortir ensemble.

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MAMZELLE
Bonjour à tous (: Moi c'est Mamzelle ou Céline, comme vous voulez. J'ai 19 ans et j'habite un petit pays nommé Belgique. Si je me suis inscrite sur ce forum, c'est avant tout pour le contexte qui me plaisait beaucoup et le design. J'ai réservé Kristen Stewart pendant la reconstruction du forum. A part ça, sachez que je ne mords pas x)


Dernière édition par S. Charlie Cohen le Mer 25 Aoû - 12:28, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMar 24 Aoû - 21:13

    BIENVENUE parmi nous :D. Tu es bien la personne ayant réservée KStew, isn't it? :)
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MessageSujet: Re: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMar 24 Aoû - 21:13


    Oui c'est bien moi (:

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MessageSujet: Re: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMar 24 Aoû - 21:17

    Parfait, dans ce cas :) au fait, j'aime beaucoup ton avatar ^^
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MessageSujet: Re: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMer 25 Aoû - 0:05

    Les problèmes de fiches ont été réglés :). Il faut cependant que tu recolles le formulaire dans ta fiche (x
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MessageSujet: Re: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMer 25 Aoû - 12:29


    Merci pour le vava :P
    Je pense avoir terminé (:
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MessageSujet: Re: Hope is a fucking promise ; Charlie.   Hope is a fucking promise ; Charlie. EmptyMer 25 Aoû - 12:52

    Tout est bon, je valide I love you
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